Bové et Déobat étaient donc venus témoigner en compagnie de salariés ayant bénéficié de cette clause – qui, rappelons-le, consiste pour les entreprises titulaires de nos marchés de travaux, à offrir un certain quota d’heures de travail à de jeunes demandeurs d’emploi de longue durée ou reconnus travailleurs handicapés.
